« Le jour où Mamadi Doumbouya m’a chassé de chez moi », par Cellou Dalein Diallo
Le 28 février 2022, le président de l’UFDG était contraint de quitter sa résidence de Dixinn, à Conakry, acquise lorsqu’il était membre du gouvernement. Un épisode douloureux qu’il raconte à Jeune Afrique.
C’était le 28 février 2022. Ce jour-là, le chef d’état-major des armées, le colonel Sidiba Koulibaly, et le haut commandant de la gendarmerie, Balla Samoura, sont venus pour me faire sortir de ma maison. Ils étaient accompagnés de 30 bérets rouges, armés jusqu’aux dents ! Heureusement, j’étais déjà parti. J’avais laissé les clés à quelqu’un et l’huissier n’a pu que constater que j’avais quitté les lieux.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Déjà abonné ?
Connectez-vous
la suite après cette publicité
Les plus lus – Politique
- Sextapes et argent public : les Obiang pris dans l’ouragan Bello
- À Casablanca, la Joutia de Derb Ghallef en voie de réhabilitation
- Présidentielle en Côte d’Ivoire : la stratégie anti-fake news d’Alassane Ouattara
- En RDC, la nouvelle vie à la ferme de Fortunat Biselele
- Gabon : 10 choses à savoir sur la première dame, Zita Oligui Nguema