Le Cameroun s’enflamme à son tour contre les télécoms
Mauvaise qualité de service, tarification peu avantageuse… À l’image des Burkinabè et des Ivoiriens, les consommateurs camerounais boycottent des services deux heures chaque jour. Face à l’ampleur du mouvement, le gouvernement a décidé de réagir.
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Siège de l’ARTP, à Dakar, au Sénégal. © ARTP.
Il aura fallu 48 heures à la ministre des Postes et Télécommunications pour répondre au mouvement de colère qui a gagné la société camerounaise depuis le 23 avril, date à laquelle a été lancé le mouvement de boycott quotidien des services d’appel et d’internet, entre 12 et 14 heures.
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