Revue de la presse ivoirienne

Publié le 28 janvier 2009 Lecture : 2 minutes.

Voici les principales informations de journaux ivoiriens parus mercredi : – – – FRATERNITÉ MATIN : Un séminaire a été organisé par l’ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) de jeudi à lundi à Bouaké pour préparer la mise en oeuvre effective de l’unicité des caisses de l’Etat. Les travaux ont recommandé, entre autres, la réintégration des fonctionnaires qui depuis le 19 septembre 2002 sont dans les rangs des FN et ont travaillé dans des structures dites économiques. « Ma présence ici à l’occasion de ce séminaire est justement le témoignage de la sincérité des FN à appliquer l’accord IV de Ouagadougou », a déclaré le Premier ministre Guillaume Soro, également chef des FN. – – LE TEMPS : La présidente des « Femmes patriotes » (pro-Gbagbo), Geneviève Bro-Grébé, a interpellé mardi la Commission électorale indépendante (CEI) sur les dangers que court la Côte d’Ivoire en mettant fin à l’enrôlement le 28 février prochain. « Nous ne pouvons accepter qu’on nous fabrique des Ivoiriens à des fins électorales », a-t-elle indiqué, jugeant cette date butoir trop « singulière et cavalière ». – – – L’INTELLIGENT D’ABIDJAN : Le ministère de la Justice et des Droits de l’Homme a procédé mardi à Abidjan au lancement officiel de la phase administrative et judiciaire de l’opération de constitution des registres de l’état civil disparus ou détruits, partiellement ou entièrement. Sur l’ensemble des 700. 000 registres de l’état civil, les équipes du ministère ont réalisé l’inventaire de 659. 465 registres dans les 34 juridictions de la Côte d’Ivoire. Ce sont, selon les chiffres officiels, environ 20. 000 registres qui ont disparu ou qui ont été détruits. – – – FRATERNITÉ MATIN : Les députés français votent, ce mercredi, pour ou contre le maintien de la force Licorne en Côte d’Ivoire. Le vote du parlement français répond à une disposition de la Constitution française qui requiert que les représentants du peuple se prononcent sur une opération militaire à l’étranger, dès lors que celle-ci dépasse quatre mois. Le vote vient donc comme une régularisation de la situation des militaires français en Côte d’Ivoire, si la mission de Licorne venait à être prorogée. Dans le cas contraire, les quelques 1800 soldats déployés sur le sol ivoirien devraient plier bagage et rentrer en France. Fin

La Matinale.

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