À Charm el-Cheikh, la BAD s’attaque au changement climatique
La 58ème session annuelle du conseil des gouverneurs de la Banque et la 49ème session du conseil des gouverneurs du Fonds africain de développement sont lancées. Plus de quatre milles personnes ont fait le déplacement en Égypte.
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Akinwumi Adesina, le président de la Banque africaine de développement à Paris, le 10 novembre 2021. © Damien Grenon pour JA
Cap sur Charm el-Cheikh, en Égypte, là où la mer Rouge et le golfe d’Aqaba se croisent. Du 22 au 26 mai, les délégations africaines et les partenaires internationaux de la Banque africaine de développement (BAD) s’y retrouvent pour les assemblées annuelles.
C’est Akinwumi Adesina, le président de l’institution, qui a donné le coup d’envoi des travaux en lançant au micro : « Money matters, money matters, money matters » (« L’agent compte, l’argent compte, l’argent compte »). Ce faisant, il a lourdement souligné l’ampleur des besoins en investissement du continent, estimés à 2 800 milliards de dollars à horizon 2030.
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