En Algérie, la justice condamne Issad Rebrab à la retraite définitive
Une décision judiciaire met fin à toute intention de rebond du fondateur de Cevital, alors que le groupe doit inaugurer sous peu une usine à Béjaïa, symbole du dégel des tensions avec les autorités algériennes.
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L’Algérien Issad Rebrab, ancien patron de Cevital, le 30 janvier 2014. © FAROUK BATICHE/AFP
Si Issad Rebrab était tenté de revenir aux affaires, la justice algérienne en a décidé autrement. Elle vient en effet d’interdire au fondateur et ancien patron du groupe Cevital d’exercer toute fonction commerciale ou de gestion, comme celles de directeur, administrateur ou gérant.
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