L’Algérie trop présente en Tunisie ? Cinq questions pour comprendre les tensions diplomatiques
Le 29 mai, l’ambassadeur algérien en Italie a expliqué qu’Alger et Rome entendaient préserver la stabilité de la Tunisie. Une déclaration fleurant l’ingérence et qui n’est pas la première du genre. Mais à laquelle Tunis n’a guère les moyens de répondre.
LE DÉCRYPTAGE DE JA – Lundi 29 mai, le ministre algérien de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, était en déplacement en Italie pour prendre part aux travaux du Forum économique sur « les perspectives de développement de l’industrie automobile en Algérie ».
C’est en marge de cet événement que le représentant d’Alger à Rome, Abdelkrim Touahria, a vanté en termes choisis les excellentes relations qu’entretiennent depuis quelques années son pays et l’Italie. Une lune de miel rythmée par les rencontres, semaines culturelles et autres échanges, avec comme point central le projet de gazoduc entre l’Algérie et la botte italienne.
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