Au Sénégal, la crainte de l’embrasement
L’armée a été déployée dans les rues de Dakar, alors que 15 personnes ont été tuées en deux jours à la suite de violence. De quoi faire craindre le pire si l’opposant Ousmane Sonko, condamné à deux ans de prison, était arrêté.
Les appels à la retenue se multiplient au Sénégal et à l’étranger, après un déchaînement de violence qui a poussé les autorités à déployer l’armée à Dakar et qui fait craindre un embrasement en cas d’arrestation de l’opposant Ousmane Sonko, condamné le 1er juin à de la prison ferme.
La France « extrêmement préoccupée »
Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, condamne la violence et
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