Au Sénégal, le lent retour au calme après de vives tensions
Depuis la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko, le 1er juin, le pays est en proie à des violences qui ont fait 16 morts. Le Pastef et le gouvernement s’en rejettent la responsabilité.
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Le ministère de l’Intérieur a communiqué le 4 juin sur une « nette baisse des points de tension et des arrestations ». © JOHN WESSELS / AFP.
Au Sénégal, la tension retombe progressivement. Des heurts ont toutefois fait une nouvelle victime samedi 3 juin, portant à 16 le nombre officiel de morts depuis la condamnation, le 1er juin, de l’opposant Ousmane Sonko à deux ans de prison. Les Sénégalais continuent de redouter une arrestation du candidat déclaré pour la présidentielle de 2024.
Des milices privées ?
Dans un communiqué publié
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