Pour attirer les investisseurs étrangers, l’Algérie a un plan
Alger s’apprête à refondre totalement ses règles de passation des marchés publics, lesquels représentent 20 % du PIB du pays. Objectif annoncé : plus de transparence et d’efficacité, et moins de corruption, notamment grâce à la dématérialisation.
C’est la dernière ligne droite. Le ministre algérien des Finances, Laaziz Fayed, a présenté le 11 juin un projet de loi régissant les règles générales relatives aux marchés publics, devant la commission des finances et du budget à l’Assemblée populaire nationale algérienne.
« Le texte de loi a l’ambition d’assurer un meilleur encadrement des marchés publics, en prenant en considération les profonds changements dans la situation économique du pays, à travers la consolidation de la production et de l’outil national de production, notamment les start-up labélisées, les petites-entreprises ou les micro-entreprises », a expliqué le ministre.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus – Économie & Entreprises
- La Côte d’Ivoire, plus gros importateur de vin d’Afrique et cible des producteurs ...
- Au Maroc, l’UM6P se voit déjà en MIT
- Aérien : pourquoi se déplacer en Afrique coûte-t-il si cher ?
- Côte d’Ivoire : pour booster ses réseaux de transports, Abidjan a un plan
- La stratégie de Teyliom pour redessiner Abidjan