Comment Louise Mushikiwabo veut réorienter les financements vers les pays vulnérables

Pendant que la communauté internationale se réunissait lors du sommet pour un nouveau pacte financier mondial, l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) et le Commonwealth ont défendu le principe de vulnérabilité des États, pour plus d’équité.

Louise Mushikiwabo, secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie. © Vincent FOURNIER/JA.

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Publié le 26 juin 2023 Lecture : 2 minutes.

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Nouveau pacte financier mondial : bilan en demi-teinte pour le sommet de Paris

Une cinquantaine de chefs d’État, ainsi que des représentants d’institutions internationales et de la société civile ont participé au sommet qui s’est tenu à Paris les 22 et 23 juin. Ce qu’il faut en retenir.

Sommaire

L’organisation internationale de la francophonie (OIF) et son équivalent anglophone, le Commonwealth, ont parlé le même langage le temps d’une matinée à Paris, le 22 juin. Les deux institutions ont organisé ensemble et en marge du sommet pour un nouveau pacte financier mondial, une session de travail consacrée à la prise en compte de la vulnérabilité propre à chaque État dans l’allocation des financements de soutien au développement.

Des mesures plus spécifiques des inégalités

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