Revue de la presse sénégalaise
Publié le 2 janvier 2008 Lecture : 2 minutes.
Voici les principales informations de la presse sénégalaise parue vendredi : – – – WALFADJRI rapporte que l’affaire Hissène Habré est loin de connaître son épilogue. « Après la décision du Sénégal de juger l’ancien président tchadien, ses avocats portent le dossier devant la Cedeao, pour faire échouer la procédure déclenchée contre leur client. Une nouvelle voie que les victimes d’Hissène Habré vont, eux aussi, explorer, confie le président de la Raddho, Alioune Tine », indique le journal. – – – REWMI : En fixant le prix du kilogramme d’arachide (165 FCFA/kg), l’Etat a soulevé une vive polémique dans le monde paysan. Une raison pour qu’également, après certaines organisations paysannes, que le Parti Socialiste monte au créneau pour dénoncer un tel état de fait. Pour Ousmane Tanor Dieng et ses camarades, 165 francs ne rembourse pas le coût des facteurs de production, ni ne rémunère la force de travail des paysans, lesquels ont travaillé quatre mois durant dans l’espoir de vivre décemment. – – – NETTALI : Macky Sall vient de créer son parti, et le combat ne fait que commencer pour lui. En effet, tant qu’il était au sein du Pds, les choses étaient plut?t faciles. Il était dans une position de victime. On lui menait un peu la guerre parce que le moindre de ses actes était interprété comme une défiance vis-à-vis du Président de la République, depuis son voyage en France sur invitation du Sénat fran?ais, jusqu’à son souhait d’auditionner fils du Président Wade. – – – LE SOLEIL indique que dans le contexte actuel de crise financière aigue, l’opportunité des études relatives à l’impact des transferts des migrants internationaux sur la pauvreté, à l’effort fiscal attendu du secteur informel et à l’existence d’une bulle immobilière dans les villes du Sénégal, a été reconnue par tous les participants à l’atelier de restitution organisé par la Dpee. – – – LE MATIN informe que les employés de Dem-Dikk, les agents municipaux de Dakar et les étudiants de l’Université Gaston Berger ont exprimé hier leur profonde indignation en descendant dans la rue. La raison ? Ils courent derrière leur dû à trois jours de la Tabaski, le 9 décembre. Fin
