Crise de l’électricité : Grand Inga, Mphanda Nkuwa… Pourquoi les projets de barrages hydroélectriques n’avancent pas

Déplacements de populations, dégâts environnementaux, gouvernance problématique… Les appels répétés de Cyril Ramaphosa à la mobilisation des bailleurs internationaux pour financer la construction de barrages hydroélectriques se heurtent à de nombreux écueils. Décryptage en infographies.

Les projets de barrages hydroélectriques, éléments essentiels de la stratégie d’électrificationde l’Afrique centrale et australe, tardent à sortir de terre. © MONTAGE JA : GWEN DUBOURTHOUMIEU pour JA

Laura-Angela BaGnetto, The Africa Report

Publié le 13 juillet 2023 Lecture : 2 minutes.

Face à la crise de l’électricité en Afrique australe, notamment en Afrique du Sud, le président Cyril Ramaphosa et son homologue de la RDC, Félix Tshisekedi, ont appelé les dirigeants du monde à investir dans le projet d’électrification du barrage de Grand Inga, lors du sommet pour un nouveau pacte financier mondial organisé à Paris, en juin dernier.

« Mettons l’argent sur la table et attaquons-nous collectivement à ce mégaprojet qui, en fin de compte, produira de l’électricité pour 12 à 15 pays africains », a déclaré le chef de l’État sud-africain, faisant référence à une capacité estimée à 70 000 mégawatts (MW).

Projet pharaonique

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

La Stam, discret champion marocain des barrages, voit grand

Contenus partenaires