Au Cameroun, la réforme ferroviaire fait dérailler les prêteurs
Adopté par le Parlement, le texte alimente les débats. Les bailleurs de fonds exigent des clarifications sur l’impact de la création de la société de patrimoine et de l’autorité de régulation sur leurs financements.
Le nouveau projet de loi régissant le secteur ferroviaire qui vient d’être adopté par le Parlement inquiète les bailleurs de fonds. La réforme ferroviaire prévoit en effet la création d’une société de patrimoine à qui reviendront les gares, les voies ferrées, les véhicules, les hangars, ainsi que les aires de maintenance et de stockage. Ce qui entraînera le transfert des deux tiers de ses 1 500 employés de la direction des installations fixes, celles des matériels roulants et des transports de Camrail à la nouvelle entité.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus – Économie & Entreprises
- « Neuf des vingt pays qui présentent les taux de croissance les plus forts au mond...
- Doublé par la junte au Mali, Maroc Telecom restera-t-il dans le pays ?
- Le bras de fer s’intensifie entre Assimi Goïta et Mark Bristow
- Emmanuel Macron au Maroc : qui sont les patrons qui l’accompagneront et quel est l...
- Chez Itoc au Sénégal, les enfants de Baba Diao revisitent la gouvernance du groupe