Au Togo, l’omerta de Lomé face aux attaques jihadistes
Une embuscade à Sankortchagou, dans le nord du pays, a coûté la vie à au moins une dizaine de militaires mi-juillet. Une fois de plus, le gouvernement togolais n’a fait aucun commentaire.
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Des soldats togolais patrouillent à Dapaong, dans le nord du Togo, le 17 février 2020. © PIUS UTOMI EKPEI/AFP
Dix, onze, douze morts ? Le 17 juillet, alors que Faure Essozimna Gnassingbé résidait à Kara pour la fête traditionnelle Evala, une patrouille de l’armée a été attaquée par des jihadistes dans le village de Sankortchagou, dans la préfecture de Kpendjal. Bilan : au moins dix militaires tués, selon des sources concordantes.
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