Pourquoi les cours du cacao flambent sans que l’Afrique n’en profite
La baisse anticipée des rendements pour la saison 2023/2024 fait grimper les cours de l’or brun. Mais les pays producteurs ne devraient pas en profiter. Explications.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/07/26/jad20230726-eco-cours-du-cacao-1256x628-1690453100.jpg)
Dans une usine de chocolats du français Cemoi, à Abidjan. © ISSOUF SANOGO / AFP.
Les cours internationaux du cacao se sont enflammés sur les marchés, une première depuis plus de trente ans. Ce 26 juillet, à Londres, place boursière de référence de l’or brun, les cours pour les contrats de septembre atteignaient 2 700 livres (3 141 euros) la tonne, tandis qu’à New York, les prix franchissaient la barre de 3 552 dollars (3 186 euros).
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Déjà abonné ?
Connectez-vous
la suite après cette publicité
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »