La Riac de Brazzaville, confluence artistique entre l’Elbe et le Congo
Du 4 au 23 septembre, la capitale congolaise accueille la dixième édition de la Rencontre internationale d’art contemporain, un rendez-vous unique en son genre en Afrique centrale.
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La plasticienne congolaise Bill Kouélany, fondatrice des Ateliers Sahm et de la Rencontre internationale d’art contemporain (Riac), le 28 juin 2023, à Brazzaville. © Arsène Mpiana pour JA
![Au Congo. © Antonin Borgeaud.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop,gravity=0.5011x0.6216/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/09/25/jad20230925-gfcongo-cover.jpg)
Congo : la carte verte
À l’approche de la tenue à Brazzaville du Sommet des trois bassins tropicaux de la planète, du 26 au 28 octobre, Denis Sassou Nguesso a fait de la préservation de celui du Congo l’argument central de son soft power diplomatique.
Après le Festival panafricain de musique (Fespam), qui a fait son grand retour en juillet sous le signe de la rumba – après huit ans d’absence en raison de la crise financière, puis de la pandémie de Covid-19 –, Brazzaville accueille, du 4 au 23 septembre, sa dixième Rencontre internationale de l’art contemporain (Riac). Un rendez-vous unique en Afrique centrale, qui permet d’apprécier la vitalité
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Congo : la carte verte
À l’approche de la tenue à Brazzaville du Sommet des trois bassins tropicaux de la planète, du 26 au 28 octobre, Denis Sassou Nguesso a fait de la préservation de celui du Congo l’argument central de son soft power diplomatique.
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