Chine, Turquie, Brésil… Pour s’armer, le Maroc diversifie ses fournisseurs

États-Unis, Chine, France et Israël continuent d’alimenter l’arsenal militaire marocain. Mais de nouveaux concurrents entrent dans la danse, comme l’Inde et le Brésil, qui proposent des équipements moins onéreux.

Véhicules des Forces armées royales (FAR) marocaines et de l’armée américaine dans la province de Tan-Tan (sud-ouest du Maroc), le 30 juin 2022, lors de la 18e édition de l’exercice militaire annuel African Lion. © FADEL SENNA/AFP

Publié le 3 août 2023 Lecture : 4 minutes.

Si les relations entre le Maroc et la France, qui ne sont actuellement « ni amicales ni bonnes » – pour reprendre une expression du Palais royal qui a connu un certain succès –, les importations d’armes depuis l’Hexagone, elles, demeurent. C’est ce qu’a fait comprendre un post sur la page Facebook des Forces armées royales, « FAR-Maroc », le 14 juillet dernier.

Celui-ci a mis en évidence l’utilisation de drones tactiques français DT26 E, qui permet de sécuriser des zones sensibles sur de larges distances et, ainsi, de lutter contre la contrebande de marchandises et de drogues, mais aussi contre l’immigration clandestine.

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