Chine, Turquie, Brésil… Pour s’armer, le Maroc diversifie ses fournisseurs
États-Unis, Chine, France et Israël continuent d’alimenter l’arsenal militaire marocain. Mais de nouveaux concurrents entrent dans la danse, comme l’Inde et le Brésil, qui proposent des équipements moins onéreux.
Si les relations entre le Maroc et la France, qui ne sont actuellement « ni amicales ni bonnes » – pour reprendre une expression du Palais royal qui a connu un certain succès –, les importations d’armes depuis l’Hexagone, elles, demeurent. C’est ce qu’a fait comprendre un post sur la page Facebook des Forces armées royales, « FAR-Maroc », le 14 juillet dernier.
Celui-ci a mis en évidence l’utilisation de drones tactiques français DT26 E, qui permet de sécuriser des zones sensibles sur de larges distances et, ainsi, de lutter contre la contrebande de marchandises et de drogues, mais aussi contre l’immigration clandestine.
Les Américains, partenaires particuliers
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