Ce que le Maroc et l’Algérie gagneraient à l’ouverture de la frontière
Tourisme, hydrogène vert, croissance économique. La normalisation des relations entre le Maroc et l’Algérie marquerait le début d’une nouvelle ère pour les deux pays et toute la région.
Un « retour à la normale » avec l’Algérie. Ni plus, ni moins. Tel est le vœu exprimé par Mohammed VI lors de son allocution radiotélévisée adressée à la nation, le samedi 29 juillet, marquant l’anniversaire de son accession au trône.
La clé de cette normalisation réside notamment dans la réouverture de la frontière, fermée depuis 1994. Une démarche primordiale, a fortiori après la rupture des liens diplomatiques entre l’Algérie et le Maroc, en août 2021. Alger accusait Rabat de mener des « actes hostiles ». Des accusations jugées « complètement injustifiées » par le royaume. Depuis lors, les relations entre les deux voisins sont alimentées par une rivalité régionale exacerbée par leur antagonisme au sujet du Sahara occidental. Si le vœu du roi du Maroc venait à être exaucé, quels en seraient les impacts économiques ?
Commerce : un impact considérable
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