Le casse-tête de la protection des données personnelles pour les start-up africaines

L’essor des start-up tech, moteur des économies continentales, pousse les États à se doter de législations protégeant les données personnelles. Une pratique pour laquelle le rôle des avocats se révèle crucial.

En Afrique subsaharienne, le taux d’utilisation d’internet est passé de 5% de la population en 2005 à 31 % en 2021, selon la Banque mondiale.

Publié le 23 août 2023 Lecture : 5 minutes.

C’est un fait, l’écosystème tech africain se porte bien. Il s’est même développé plus rapidement que tous les autres marchés mondiaux en 2022, révèle un rapport de Partech Africa, le principal fonds de capital-risque consacré aux start-up technologiques du continent. Mieux, le seuil symbolique de 5 milliards de dollars levés en 2022 devrait être dépassé cette année. Pour continuer sur cette lancée et sécuriser les investissements existants, les États africains n’ont plus d’autre choix que d’encadrer juridiquement l’usage des données personnelles (lire l’encadré ci-dessous).

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