Comment le dirham s’adapte aux besoins des Marocains de l’étranger
Au Maroc, l’échange des devises reste très encadré. Mais, pour répondre à la mobilité croissante des Marocains à l’international, le royaume assouplit progressivement sa législation et libéralise les opérations de change.
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Un cambiste compte des dirhams dans un bureau de change à Rabat. © REUTERS/Youssef Boudlal
Au Maroc, c’est peu dire que les transferts d’argent vers l’étranger sont réglementés. Étudiants internationaux, touristes, hommes d’affaires, Marocains de la diaspora… Tous ont été confrontés, à un moment donné, à la politique stricte qui encadre les sorties de devises marocaines hors du pays.
Car à l’inverse de l’euro ou du dollar, et par crainte d’une pénurie, le dirham n’est pas une monnaie librement convertible. Cependant, une incontestable dynamique de libéralisation esquissée dans les années 1980 est à l’œuvre, pour faciliter son intégration à l’économie mondiale.
Du « sur-mesure » pour les étudiants
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