Comment British International Investment veut encore accélérer en Afrique
Télécommunications en Éthiopie, ports au Sénégal, BII est partout. Le bailleur de fonds britannique a fait le pari d’apporter à l’Afrique le capital patient dont elle a besoin. Explications avec son directeur général.
Avec près de 7,5 milliards de livres sterling (8,5 milliards d’euros) d’actifs investis en grande partie sur le continent, British International Investment (BII, ex-CDC Group) est l’une des plus puissantes et des plus anciennes institutions de financement de développement dévolues au secteur privé sur le continent. Déploiement de capitaux patients, développement d’infrastructures vitales, partenariats avec des acteurs publics et privés clés, innovations ciblées et apport durable d’investisseurs nationaux : la vision de l’institution britannique de développement British International Investment (ex-CDC Group) pour le continent est vaste.
« Nos thèmes principaux restent centrés sur la productivité, la durabilité et l’inclusion », précise Chris Chijiutomi, directeur général et responsable de l’Afrique pour BII. « Nous continuons à mettre l’accent sur des secteurs tels que les infrastructures, le climat, les services financiers, l’industrie manufacturière, l’immobilier, les télécommunications, la technologie et l’agriculture. »
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