Niamey abrite en octobre la 4ème édition du concours régional de plaidoirie en Droit international humanitaire

Des représentants de dix pays africains sont attendus en mi-octobre à Niamey, (capitale nigérienne) pour participer à la 4ème édition du Concours régional de plaidoirie en droit international humanitaire (DIH), organisé par le Comité international de la Croix rouge (CICR), a appris APA.

Publié le 7 janvier 2009 Lecture : 1 minute.

«L’objectif visé à travers ce Concours de plaidoirie, est de diffuser et de promouvoir le DIH, mais aussi de stimuler dans les espaces universitaires, cette branche du droit international», a confié Charles L. V. Sanchez, assistant en communication à la délégation de Dakar de l’organisation internationale humanitaire.

La rencontre, prévue dans la deuxième quinzaine du mois d’octobre, verra la participation des représentants du Bénin, du Burkina-Faso, de la Côte d’Ivoire, du Congo, du Cameroun, du Mali, du Niger, de la République de Guinée, du Sénégal et du Togo.

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Au Sénégal, le concours, organisé en décembre (16-20) par l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (270 km au nord de Dakar), en collaboration avec l’Organisation internationale humanitaire, a porté sur plusieurs thèmes relatifs au DIH et les missions du CICR.

Il avait mis en lice des étudiants en droit de l’Université Cheikh Anta de Dakar (UCAD), de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, du Centre d’Etudes des Sciences et Techniques de l’Information de l’UCAD et de l’Institut supérieur de Management de Ziguinchor (sud), ainsi que des avocats stagiaires du barreau de Dakar, soit quatre par équipe.

Les avocats stagiaires du Barreau de Dakar qui avaient remporté la finale devant les étudiants de la Faculté de Droit de l’UCAD, vont représenter le Sénégal à la rencontre de Niamey.

Selon le CICR, «le Droit international humanitaire, partie importante du Droit international public, a pour but de limiter les souffrances des civils victimes de conflits armés et d’autres situations de violence, en protégeant les personnes qui ne participent pas ou plus aux hostilités, d’une part, et en limitant les méthodes et moyens de guerre d’autre part».

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«Les Conventions de Genève de 1949 et leurs protocoles additionnels de 1977 sont les principaux instruments du Droit international humanitaire», ajoute l’organisation internationale humanitaire.

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