Intervention de la Cedeao au Niger : dans le huis clos des chefs d’État

À Abuja, le 10 août, les présidents ouest-africains ont retenu quasiment à l’unanimité l’option militaire, même si certains ont exprimé des réticences. Commandement, soutien de la France, délai de déploiement… Ils ont aussi acté certains points importants de cette éventuelle opération. Coulisses.

Les chefs d’État de la Cedeao, à Abuja, le 10 août 2023. © Gbemiga Olamikan/AP/SIPA

Publié le 11 août 2023 Lecture : 2 minutes.

Réunis le 10 août à Abuja, les chefs d’État de la Cedeao n’ont pas tergiversé. Au contraire, la décision de retenir l’option d’une intervention militaire au Niger, en dernier recours, a finalement été prise assez rapidement, même si certains pays ont exprimé des réticences, notamment le Cap-Vert, la Sierra-Leone et le Liberia.

Étaient présents le Nigérian Bola Tinubu, le Béninois Patrice Talon, l’Ivoirien Alassane Ouattara, le Ghanéen Nana Akufo-Addo, mais aussi le Bissau-Guinéen Umaro Sissoco Embaló, le Sénégalais Macky Sall, le Sierra-Léonais Julius Maada Bio et le Togolais Faure Essozimna Gnassingbé.

Délai de 48 heures

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

Coup d’État au Niger : qui sont les soutiens civils du général Tiani ?

Coup d’État au Niger : la Cedeao confirme l’option militaire

Contenus partenaires