Pourquoi l’« Uber russe » Yango obtient le feu vert du Cameroun
Après une suspension de six mois qui, dans les faits, n’a pas été appliquée, le service de mobilité urbaine est autorisé à reprendre du service pour « une durée d’un an renouvelable ». Les raisons d’un tel revirement.
Interdite depuis février dernier, Yango vient d’obtenir le feu vert pour rouler au Cameroun. Même si dans l’intervalle la plateforme continuait d’être accessible et d’opérer illégalement, un accord a été trouvé, mi-août, entre le ministre camerounais des Transports, Jean Ernest Massena Ngalle Bibehe, Yango et son partenaire local, Enangue Holding, désigné comme gestionnaire de la flotte des véhicules de la plateforme.
Ainsi, le ministre camerounais a délivré « une autorisation provisoire d’exercice du service de transport par taxi opéré via la plateforme Yango ». D’une durée d’un an renouvelable, cette licence ne reste cependant valide que si Enangue Holding représente localement Yango.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus – Économie & Entreprises
- La Côte d’Ivoire, plus gros importateur de vin d’Afrique et cible des producteurs ...
- Au Maroc, l’UM6P se voit déjà en MIT
- Aérien : pourquoi se déplacer en Afrique coûte-t-il si cher ?
- Côte d’Ivoire : pour booster ses réseaux de transports, Abidjan a un plan
- La stratégie de Teyliom pour redessiner Abidjan