Pourquoi, sur le papier, l’Algérie aurait pu intégrer les Brics

Au regard des indicateurs macroéconomique de l’Égypte et l’Éthiopie qui rejoindront le groupement économique à compter du 1er janvier 2024, la candidature algérienne avait toutes ses chances. Explications.

Le président du Soudan du Sud, Salva Kiir (à gauche), et le président du Sénégal, Macky Sall (à droite)au sommet des Brics à Johannesburg, le 24 août 2023. © MARCO LONGARI/AFP

YARA-RIZK_2024

Publié le 1 septembre 2023 Lecture : 4 minutes.

Bien qu’attendue, l’annonce est tombée comme un couperet : le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, a annoncé le 24 août, lors du sommet des principales économies émergentes qui se tenait à Johannesburg, l’adhésion de l’Iran, de l’Argentine, de l’Égypte, de l’Éthiopie, de l’Arabie saoudite et des Émirats arabes unis aux Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) à compter du 1er

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