Au Maroc, l’autoroute de l’eau : cinq questions pour comprendre un projet pionnier
Le tout premier tronçon opérationnel de ce mégachantier d’interconnexion entre bassins hydrauliques, prévu dans le Plan national de l’eau lancé en 2020, a été inauguré le 28 août. Son ambition : améliorer la gestion des ressources en eau, dans un contexte de stress hydrique qui touche toute la région.
LE DÉCRYPTAGE DE JA – Lors de son allocution du 31 août dernier, le porte-parole du gouvernement marocain, Mustapha Baitas, a consacré quelques minutes au « très important chantier royal de l’autoroute de l’eau », qui a nécessité un budget de 6 milliards de dirhams.
La première phase a été finalisée à la fin du mois d’août et, a expliqué le responsable gouvernemental, son débit devait doubler lors de sa semaine de mise en service, passant de 3 à 6 m3/s. Ce qui représente pour l’instant « près de 400 000 à 500 000 m3/s par an », soit « la moitié des besoins de Casablanca et de Rabat », a-t-il précisé.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus
- À Casablanca, la Joutia de Derb Ghallef en voie de réhabilitation
- Mali, Burkina, RDC, Afrique du Sud… Haro sur le néocolonialisme minier !
- Gabon : 10 choses à savoir sur la première dame, Zita Oligui Nguema
- Sénégal : à quoi doit servir la nouvelle banque de la diaspora ?
- En RDC, la nouvelle vie à la ferme de Fortunat Biselele