Comment la réhabilitation de routes pourrait booster Madagascar
Pendant plus de cinquante ans, la Grande Île a privilégié la desserte aérienne intérieure. Résultat, elle ne dispose toujours pas d’un réseau routier à même d’assurer son développement.
Certains choix politiques façonnent pour longtemps la réalité d’un pays. Et le choix opéré par les pères de l’indépendance malgache, lors de la première République, de privilégier la desserte aérienne intérieure en multipliant les aérodromes régionaux, plutôt que de bâtir un réseau routier digne de ce nom, continue aujourd’hui d’affecter les activités économiques et le développement humain à travers tout le pays.
Moins de 6 000 km bitumés
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