Mali, Burkina, Niger : combien les coups d’État coûtent-ils ?
Sahel, des coups qui coûtent
De la Guinée au Niger, en passant par le Burkina Faso et le Mali, les putschistes ont pu s’appuyer sur un terreau fertile, celui d’un mécontentement social grandissant, pour s’emparer du pouvoir face aux autorités souvent mal élues, une situation sécuritaire instable et un développement économique qui stagne. Après les scènes de liesse initiales, Jeune Afrique dresse un premier bilan socioéconomique.
SAHEL : DES COUPS QUI COÛTENT (1/4) – Le 23 août, le Mali a cherché à lever 25 milliards de F CFA (38 millions d’euros) sur le marché financier de l’Union monétaire ouest-africaine (Umoa), mais n’a réussi à en collecter que 9,5 milliards, soit un taux de couverture de 38 %. « Cela illustre le malaise des investisseurs à l’intérieur comme à l’extérieur du pays », analyse Modibo Mao Makalou, économiste malien et ancien conseiller aux Affaires économiques à la présidence.
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Sahel, des coups qui coûtent
De la Guinée au Niger, en passant par le Burkina Faso et le Mali, les putschistes ont pu s’appuyer sur un terreau fertile, celui d’un mécontentement social grandissant, pour s’emparer du pouvoir face aux autorités souvent mal élues, une situation sécuritaire instable et un développement économique qui stagne. Après les scènes de liesse initiales, Jeune Afrique dresse un premier bilan socioéconomique.
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