Présidentielle à Madagascar : « Siteny », des tatamis au palais d’Iavoloha ?

L’ancien champion et désormais président de l’Union africaine de judo, Thierry Siteny Randrianasoloniako, député de Tuléar, se lance pour la première fois dans la course à la magistrature suprême. Sur fond de rumeurs concernant ses relations avec la Russie.

Thierry Siteny Randrianasoloniako, député de Tuléar et candidat (PSD) à la présidentielle de 2023 à Madagascar (ici en décembre 2018). © Mpanarivo Rakotoharimanana/CreativeCommons

OLIVIER-CASLIN_2024

Publié le 3 octobre 2023 Lecture : 4 minutes.

Dans une rue d’Antananarivo, le 20 décembre 2018. © Themba Hadebe/AP/SIPA
Issu du dossier

Madagascar : Grande Île, grands défis

La campagne pour l’élection présidentielle bat son plein. Mais les Malgaches sont surtout préoccupés par la crise économique et la dégradation de leurs conditions de vie.

Sommaire

Parmi les 13 candidatures à la présidentielle des 9 novembre et 20 décembre prochains qui ont été validées par la Haute Cour constitutionnelle (HCC) le 9 septembre figure, outre celles des trois derniers chefs de l’ÉtatMarc Ravalomanana, Hery Rajaonarimampianina et le sortant, Andry Rajoelina –, celle du président de l’Union africaine de judo (UAJ), Thierry Siteny Randrianasoloniako. À 51 ans, l’ex-judoka se lance dans la course à la magistrature suprême, treize ans après son entrée sur la scène politique malgache.

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

Dans le même dossier