Succession de Nana Akufo-Addo au Ghana : la task-force électorale du vice-président
Mahamudu Bawumia réussira un tour de force s’il est désigné candidat du parti au pouvoir lors des primaires du New Patriotic Party (NPP) qui se tiendront le 4 novembre. Pour y parvenir, il s’est entouré de ses soutiens les plus dévoués.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1256,height=628,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/09/22/gr_bawumia_1-1256x628-1695395102.jpg)
Les proches du vice-président ghanéen, Mahamudu Bawumia. © Montage JA
Publié le 24 septembre 2023 Lecture : 5 minutes.
![](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=crop/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/09/22/gr_bawumia_2.jpg)
La victoire de Mahamudu Bawumia changerait beaucoup de choses au sein du NPP : il deviendrait le premier candidat du parti à une élection présidentielle (prévue en 2024) à ne pas parler l’akan. Il serait aussi le premier nordiste et le premier musulman à diriger le parti de centre-droit libéral-conservateur lors d’un scrutin majeur. À 59 ans, il a franchi le premier obstacle pour succéder à son