Dix choses à savoir sur Rachid Hachichi, le nouvel homme fort de Sonatrach
Pur produit du géant gazier et pétrolier public algérien, l’ingénieur de 60 ans a connu honneurs et disgrâce avant de retrouver un poste, hautement stratégique, qu’il a déjà occupé en 2019.
DIX CHOSES À SAVOIR SUR – À la surprise générale, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a acté, début octobre, la fin du mandat de Taoufik Hakkar à la tête de l’entreprise pétrolière et gazière nationale, Sonatrach. Son successeur, Rachid Hachichi – « un enfant de la boîte » – connaît bien ce poste pour l’avoir brièvement occupé entre avril et novembre 2019, en remplacement d’Abdelmoumen Ould Kaddour.
Cette nouvelle nomination rappelle la valse des patrons aux manettes de la puissante société publique d’hydrocarbures qui – hormis le mandat de près de quatre ans de Taoufik Hakkar – a connu une période d’instabilité chronique. Depuis 2010, dix PDG se sont succédé à la direction de l’entité économique la plus stratégique d’Algérie. Après une année 2022 portée par une série de découvertes et les prix du baril au sommet, le retour de Rachid Hachichi aux commandes représente un défi de taille.
1. Honneurs et disgrâce
Bien s’informer, mieux décider
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