![Lors du 51e sommet extraordinaire de la Cedeao, le 30 juillet 2023, autour de la situation politique au Niger. © MONTAGE JA / ECOWAS.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1920,height=1080,fit=cover,gravity=0.3806x0.3035/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/10/24/jad20231024-eco-serie-sahel-episode2-intro-cartouche.jpg)
Mines, BTP, banques… Au Sahel, le difficile « doing business » avec la junte
![Le colonel Assimi Goïta, président de la transition au Mali, lors de la cérémonie d’investiture à Bamako, le 7 juin 2021. Colonel Assimi Goita, leader of two military coups and new interim president, poses with the lawyers during his inauguration ceremony in Bamako, Mali June 7, 2021.
© MONTAGE JA : Amadou Keita/REUTERS](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/10/24/jad20231024-eco-serie-sahel-intro-sans-cartouche.jpg)
Sahel, des coups qui coûtent
De la Guinée au Niger, en passant par le Burkina Faso et le Mali, les putschistes ont pu s’appuyer sur un terreau fertile, celui d’un mécontentement social grandissant, pour s’emparer du pouvoir face aux autorités souvent mal élues, une situation sécuritaire instable et un développement économique qui stagne. Après les scènes de liesse initiales, Jeune Afrique dresse un premier bilan socioéconomique.
SAHEL : DES COUPS QUI COÛTENT (2/4) – Pour le néophyte, le marché de Zabr-Daaga, à Ouagadougou, n’a pas beaucoup changé. Les vendeuses ont toujours le sourire, elles proposent encore ignames et bananes plantain. On y vend inlassablement poulets, vêtements et autres ustensiles de cuisine. Mais derrière les sourires, il y a beaucoup de dépit.
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![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
![Le colonel Assimi Goïta, président de la transition au Mali, lors de la cérémonie d’investiture à Bamako, le 7 juin 2021. Colonel Assimi Goita, leader of two military coups and new interim president, poses with the lawyers during his inauguration ceremony in Bamako, Mali June 7, 2021.
© MONTAGE JA : Amadou Keita/REUTERS](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/10/24/jad20231024-eco-serie-sahel-intro-sans-cartouche.jpg)
Sahel, des coups qui coûtent
De la Guinée au Niger, en passant par le Burkina Faso et le Mali, les putschistes ont pu s’appuyer sur un terreau fertile, celui d’un mécontentement social grandissant, pour s’emparer du pouvoir face aux autorités souvent mal élues, une situation sécuritaire instable et un développement économique qui stagne. Après les scènes de liesse initiales, Jeune Afrique dresse un premier bilan socioéconomique.
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