Le Mozambique et Iskandar Safa croisent le fer à l’ouverture du procès de la dette cachée
Alors que l’homme d’affaires franco-libanais Iskandar Safa est accusé de corruption d’agents publics, il dénonce une « machination politique » du président Filipe Nyusi, au premier jour du procès à Londres d’un scandale politico-financier qui secoue le Mozambique depuis une décennie.
![Francois Hollande, Armando Guebuza et Iskandar Safa, à Cherbourg, en Normandie, en 2013. © WITT/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/10/17/ja20231017-eco-mozambique-dette-cachee-proces-iskandarsafa-photo2.jpg)
Francois Hollande, Armando Guebuza et Iskandar Safa, à Cherbourg, en Normandie, en 2013. © WITT/SIPA
La salle d’audience numéro 26 du Rolls Building, à Londres, est comble. Le plus grand tribunal au monde dédié au règlement des litiges financiers accueille, à partir de ce 17 octobre, le procès de la « dette cachée », qui doit trancher une affaire politico-financière secouant le Mozambique depuis 10 ans déjà.
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