Présidentielle au Sénégal : député, maire ou militant, quel parrain choisir ?
Depuis la révision du code électoral en juillet, les candidats peuvent se faire parrainer par des députés, des maires ou de simples citoyens. C’est cette dernière option, pourtant plus complexe, qu’ont choisie les principaux partis politiques.
![Les partisans du candidat à l’élection présidentielle de 2019 Idrissa Seck lors d’un rassemblement à Dakar, le 22 février 2019. © MICHELE CATTANI/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5000x0.5000/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/10/24/jad-20231024-ass-senegal-parrainages.jpg)
Les partisans du candidat à l’élection présidentielle de 2019 Idrissa Seck lors d’un rassemblement à Dakar, le 22 février 2019. © MICHELE CATTANI/AFP
C’est le branle-bas de combat dans les états-majors depuis que le coup d’envoi de la campagne de collecte des parrainages a été donné par la Direction générale des élections (DGE), le 29 septembre. Plus de 200 candidats ont retiré les fiches sur lesquelles doivent être recueillies un minimum de 44 559 signatures de citoyens en âge de voter. Depuis la révision du code électoral en juillet, il faut désormais être parrainé par 0,6 % à 0,8 % du corps électoral pour espérer valider son dossier de candidature. Les textes donnent également la possibilité au candidat d’être coopté par 13 députés ou 120 maires ou présidents de conseil départemental.
Parrainage citoyen
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »