Au Niger, l’équilibrisme des États-Unis

Depuis qu’Abdourahamane Tiani a renversé Mohamed Bazoum le 26 juillet, Washington a choisi la carte du pragmatisme. S’ils ont fini par dénoncer le coup d’État, les Américains n’entendent pas quitter le Niger et doivent composer avec la junte.

Un drapeau américain et un drapeau nigérien hissés côte à côte sur la base aérienne 201 à Agadez, le 16 avril 2018. © Carley Petesch/AP/SIPA

Un drapeau américain et un drapeau nigérien hissés côte à côte sur la base aérienne 201 à Agadez, le 16 avril 2018. © Carley Petesch/AP/SIPA

MATHIEU-OLIVIER_2024

Publié le 23 octobre 2023 Lecture : 3 minutes.

Les États-Unis continuent de souffler le chaud et le froid sur Niamey. Dimanche 22 octobre, Judd Devermont, directeur des Affaires africaines au conseil de sécurité nationale américain, a réaffirmé au quotidien britannique The Financial Times que son pays n’avait aucune intention de quitter le Niger, malgré le renversement du président Mohamed Bazoum le 26 juillet dernier.

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