Comment IFC et OCP espèrent booster les filières agricoles en Afrique
Dotée de 800 millions de dollars, une plateforme commune du bailleur de la Banque mondiale et du géant marocain des phosphates doit encourager l’essor du financement de l’agriculture continentale.
![Mostafa Terrab, PDG du Groupe OCP, et Makhtar Diop, DG d’IFC. © DR](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/10/25/jad20231025-eco-agrobusiness-ifc-ocp-engrais.jpg)
Mostafa Terrab, PDG du Groupe OCP, et Makhtar Diop, DG d’IFC. © DR
Une enveloppe de 800 millions de dollars (environ 750 millions d’euros) et une stratégie centrée sur les chaînes de valeur. Ce sont les deux composantes clés de la plateforme annoncée, en marge des dernières assemblées annuelles de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI) organisées à Marrakech, au Maroc, à la mi-octobre, par ses deux promoteurs, IFC, la filiale de la BM consacrée au secteur privé, et OCP, le géant marocain des phosphates dirigé par Mostafa Terrab.
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