Maroc : islamiste cherche allié désespérément
Décidément, les islamistes entrés en politique sont dans une mauvaise passe en Afrique du nord. Après les frères musulmans égyptiens, ce sont les Marocains du PJD qui pourraient vaciller…
![L’oeil de Glez. © Glez](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2013/07/11/011072013130242000000Maroc_istiqlal_263_163.jpg)
L’oeil de Glez. © Glez
Au Maroc, le gouvernement dominé par le Parti justice et développement (PJD) vient de perdre le soutien de son principal allié, l’Istiqlal, parti de l’indépendance dont la plupart des ministres ont démissionné. Sans le soutien du maire de Fès, Hamid Chabat, acquis depuis la coalition issue des législatives de novembre 2011, le Premier ministre Abdelillah Benkirane doit trouver un partenaire de substitution pour remanier son équipe. À défaut, il ne pourra pas échapper à un scrutin anticipé. Le divorce entre le PJD et l’Istiqlal traduit-il la lutte d’influence entre le roi Mohammed VI et le gouvernement ?
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus – Politique
- Projet hôtelier au sud de Tanger : DSK réagit
- Burkina Faso : le lieutenant-colonel Yves Didier Bamouni toujours porté disparu
- Au Sénégal, l’affaire de la disparition mystérieuse de deux sous-officiers ressurgit
- Damiba à Ibrahim Traoré : « Je ne peux pas garder le silence face aux exactions contre les civils »
- En Côte d’Ivoire, le malaise à la RTI, côté coulisses