Haute couture, seconde main, transformation… La mode africaine face à ses défis
Portée par des stylistes talentueux, l’industrie de l’habillement et du textile africain devrait monter en puissance dans les années qui viennent. À condition de relever de nombreux défis, avertit l’Unesco.
![Défilé Imane Ayissi à la Fondation Mona Bismarck, Paris, le 2 juillet 2018. © Camille Millerand pour JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4972x0.2336/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/10/31/jad20231031-eco-haute-couture-mode-africaine-imaneayissi.jpg)
Défilé Imane Ayissi à la Fondation Mona Bismarck, Paris, le 2 juillet 2018. © Camille Millerand pour JA
L’avenir de la mode sera-t-il africain ? Dans son premier rapport sur la mode africaine, intitulé L’Afrique, prochain champion de la mode, publié le 26 octobre, l’Unesco dépeint les potentialités d’une industrie en plein essor et pourvoyeuse d’emplois. L’habillement serait le deuxième secteur le plus important derrière l’agriculture, selon l’institution. Avec une valeur nette estimée à 31 milliards de dollars (environ 29,3 milliards d’euros), en 2020, le marché de l’habillement et de la chaussure en Afrique subsaharienne reste pourtant largement sous-exploité.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Sanctionné par la CAF, Samuel Eto’o échappe au pire
- « Ma mère me dit : “Quitte ce pays de racistes” », les Africains de France face à la montée du RN
- Entre le Gabonais Oligui Nguema et ses voisins, tout va presque bien
- Sonangol obtient le feu vert d’Alassane Ouattara pour la vente de ses parts dans la SIR
- Au Cameroun, Paul Biya proroge le mandat des députés et conseillers municipaux