Frédéric Bongo Ondimba : « Certains cherchent à me porter préjudice parce que je porte le nom de mon père »
Radié de l’armée par décret le 23 octobre, le frère du président gabonais déchu après le coup État du 30 août, Ali Bongo Ondimba, dénonce une mascarade.
![L’ancien directeur général des services spéciaux de la Garde républicaine gabonnaise, Frédéric Bongo Ondimba. © DR](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.2001x0.2904/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/10/27/jad20231027-ass-gabon-frederic-bongo.jpg)
L’ancien directeur général des services spéciaux de la Garde républicaine gabonnaise, Frédéric Bongo Ondimba. © DR
Quatre jours après sa révocation des forces de défense gabonaise, le frère du président déchu est finalement sorti de sa réserve. L’ancien directeur général des services spéciaux de la Garde républicaine affirme avoir pris connaissance du décret qui le met, comme son frère, « à la retraite », après vingt-cinq ans dans l’armée. « Certains cherchent à me porter préjudice aujourd’hui simplement parce que je porte le nom de mon père », avance Frédéric Bongo Ondimba, fils de l’ancien président Omar Bongo Ondimba et d’Edmond Jacqueline Coq.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- À la demande d’Alassane Ouattara, João Lourenço nouveau médiateur pour le Sahel ?
- Est de la RDC : Corneille Nangaa, l’histoire d’un apprenti rebelle
- Au Cameroun, Paul Biya songe-t-il toujours à autoriser la double nationalité ?
- Roland Dumas et l’Afrique : des plaidoiries au scandale
- Sonangol obtient le feu vert d’Alassane Ouattara pour la vente de ses parts dans la SIR