Après les économies, la Société ivoirienne de raffinage à l’heure de l’écologie
Après avoir verdi ses comptes, l’entreprise publique doit désormais faire de même pour ses produits, jugés trop nocifs pour la santé d’après les nouvelles normes en vigueur dans la Cedeao. Une modernisation également nécessaire pour mieux couvrir la demande locale.
![Usine de la Société ivoirienne de raffinage, à Abidjan, en Côte d’Ivoire. © Nabil Zorkot.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.3864x0.6298/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/11/03/jad20231103-eco-ci-raffinage-sir.jpg)
Usine de la Société ivoirienne de raffinage, à Abidjan, en Côte d’Ivoire. © Nabil Zorkot.
Plus de quatre ans après l’application d’un plan de restructuration financière, les enjeux restent colossaux pour Tiotioho Soro, le directeur général de la Société ivoirienne de raffinage (SIR) nommé en août 2021.
L’ancien directeur des ressources humaines, qui a l’avantage de connaître le raffineur où il a passé toute sa carrière, occupant différentes fonctions depuis 1990, doit notamment répondre à la contrainte liée à l’environnement.
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