OIF-Canada : Louise Mushikiwabo et les dollars de la discorde
En avril, en conflit avec l’organisation, le Canada avait suspendu le versement d’une bonne partie de sa contribution volontaire. Mais la secrétaire générale de la francophonie vient de combler ce manque grâce à quatre pays africains.
![La secrétaire générale de l’OIF Louise Mushikiwabo, à Paris, le 7 janvier 2019. © Lionel Bonaventure/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.7951x0.4936/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/11/03/jad20231103-oif-louise-mushikiwabo.jpg)
La secrétaire générale de l’OIF Louise Mushikiwabo, à Paris, le 7 janvier 2019. © Lionel Bonaventure/AFP
Au regard d’un budget global de près de 65 millions d’euros au titre de l’année 2023, la somme – 2 millions – peut paraître marginale, mais elle est symbolique. Elle correspond en effet au montant d’une bonne partie de la contribution volontaire du Canada au budget de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), dont le versement a été suspendu par le gouvernement d’Ottawa en avril dernier.
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