La Cour de justice de la Cedeao examine le cas de Mohamed Bazoum
Les avocats du président nigérien déchu ont porté plainte devant la Cour régionale pour « arrestation et séquestration arbitraires ». Le délibéré est attendu le 30 novembre.
![Le 20 octobre, les avocats de l’État nigérien ont rejeté les allégations de ceux de Mohamed Bazoum – ici, lors d’une rencontre avec les ministres français des Affaires étrangères et de la Défense à Niamey, en 2022 – selon lesquelles l’ex-président nigérien serait détenu arbitrairement. © BERTRAND GUAY/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.5582x0.3185/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/11/06/jad20231106-ass-niger-bazoum-01.jpg)
Le 20 octobre, les avocats de l’État nigérien ont rejeté les allégations de ceux de Mohamed Bazoum – ici, lors d’une rencontre avec les ministres français des Affaires étrangères et de la Défense à Niamey, en 2022 – selon lesquelles l’ex-président nigérien serait détenu arbitrairement. © BERTRAND GUAY/AFP
Réunis à Dakar lundi 6 novembre, les avocats de Mohamed Bazoum ont demandé à la Cour de justice de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cedeao) sa « libération immédiate » et le rétablissement de l’ordre constitutionnel au Niger. Le pool, mené par le Sénégalais Seydou Diagne, réunissait les avocats Moussa Coulibaly (Niger), Florence Loan (Côte d’Ivoire) et Brahim Ould Ebety
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