Cape Coast, Ibadan, Touba-Mbacké… Le futur de l’Afrique se joue là
Négligées par les pouvoirs publics, les villes secondaires absorberont pourtant une bonne part des transitions démographique et urbaine du continent. Plus agiles que les métropoles, elles changent le visage de l’Afrique.
La ville secondaire est un objet urbanistique non identifié. Elle se définit surtout par ce qu’elle n’est pas : ni une métropole ni une ville rurale. Utiliser leur nombre d’habitants pour les répertorier n’aurait pas de sens à l’échelle de l’Afrique : la ville tunisienne de Gabès et son homologue nigériane Ibadan sont toutes deux considérées comme des villes secondaires alors qu’elles affichent,
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