Cedeao-Niger : Alassane Ouattara ne privilégie plus une intervention militaire
Alors qu’il militait au mois d’août pour une intervention militaire de la Cedeao au Niger, le président ivoirien a décidé d’un changement de cap. Précisions.
![Le président ivoirien Alassane Ouattara, au palais présidentiel, à Abidjan, le 5 octobre. © Sia Kambou/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.6627x0.2012/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/11/07/jad20231107-conf-civ-ouattara-01.jpg)
Le président ivoirien Alassane Ouattara, au palais présidentiel, à Abidjan, le 5 octobre. © Sia Kambou/AFP
La menace d’une intervention militaire de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) au Niger paraissait déjà de moins en moins crédible ces dernières semaines. Mais l’option, plus de cent jours après la chute de Mohamed Bazoum, renversé le 26 juillet dernier par le général Abdourahamane Tiani et retenu en otage au sein de la résidence présidentielle depuis, semble aujourd’hui définitivement enterrée.
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