Élection à la tête du patronat au Cameroun : manœuvres politiques et offensive judiciaire
Les adversaires de Célestin Tawamba, l’actuel président du Gicam, tentent de mobiliser les autorités pour empêcher la tenue du vote, prévu mi-décembre. Coulisses.
![Célestin Tawamba, l’actuel patron du Gicam, dans son bureau de Douala, en avril 2017. © Guillaume Molle pour JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4137x0.2672/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/11/09/jad20231109-conf-cameroun-bataille-gicam-celestintawamba.jpg)
Célestin Tawamba, l’actuel patron du Gicam, dans son bureau de Douala, en avril 2017. © Guillaume Molle pour JA
Le patronat camerounais s’appelle encore Groupement interpatronal du Cameroun (Gicam), mais plus pour longtemps. Après que ses membres ont approuvé, le 11 juillet dernier, la fusion avec Entreprises du Cameroun (Ecam), il devrait en effet être renommé mi-décembre.
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