Paul Biya, le tennis et les Fouda : jeux de pouvoir à Yaoundé
En plein cœur de la capitale camerounaise, le Tennis Club voit défiler depuis six décennies les puissants de la République. Si on y vénère encore Yannick Noah, on se souvient aussi d’un joueur rusé, un certain Paul Biya…
![Créé en 1964, le club ne compte plus aujourd’hui qu’une centaine de membres, dont le ministre Paul Atanga Nji. © MABOUP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/11/22/jad20231122-ass-cameroun-tennis-club-yaounde-02.jpg)
Créé en 1964, le club ne compte plus aujourd’hui qu’une centaine de membres, dont le ministre Paul Atanga Nji. © MABOUP
L’entrée, depuis l’avenue Konrad-Adenauer, n’a rien de spectaculaire. Une fois passée l’arche en béton sur laquelle s’étale en lettres majuscules l’inscription « ville de Yaoundé Tennis Club », une volée de marches grises s’élèvent vers l’accueil, coincé entre le lycée français et l’hôtel de ville. En ce samedi 11 novembre, le bruit des balles se fait entendre, succession de coups frappés avec
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