Présidentielle à Madagascar : cinq questions pour comprendre les tensions autour du scrutin

Le 16 novembre, onze millions de Malgaches doivent se rendre aux urnes pour choisir leur président. Mais les tensions entre l’opposition et le camp d’Andry Rajoelina rendent la tenue même de l’élection très incertaine.

À l’approche du premier tour de l’élection présidentielle à Madagascar, le 16 novembre 2023, les tensions entre  l’opposition et le camp d’Andry Rajoelina ne cessent de s’aggraver. © Montage Ja : MAMYRAEL/AFP

À l’approche du premier tour de l’élection présidentielle à Madagascar, le 16 novembre 2023, les tensions entre l’opposition et le camp d’Andry Rajoelina ne cessent de s’aggraver. © Montage Ja : MAMYRAEL/AFP

Publié le 14 novembre 2023 Lecture : 5 minutes.

LE DÉCRYPTAGE DE JA – Ils étaient encore des centaines voire des milliers de manifestants à occuper les rues d’Antananarivo samedi 11 novembre, réclamant le report de l’élection présidentielle prévue le 16. À quelques jours du premier tour, la mobilisation des candidats de l’opposition et de leurs partisans ne faiblit pas. Face à eux, le président sortant Andry Rajoelina continue de battre campagne dans tout le pays. Seul, ou presque.

Bien s’informer, mieux décider

Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles

Image
Découvrez nos abonnements
la suite après cette publicité

La rédaction vous recommande

Contenus partenaires