Aux Comores, Azali Assoumani en quête d’un troisième mandat

Dans quelques semaines, le 14 janvier, le chef de l’État sortant se représentera à la présidence de l’archipel. Pour la première fois depuis son accession au pouvoir, en 2016, il a face à lui une opposition qui préfère s’unir plutôt que de s’abstenir.

Lors du second tour des élections législatives, à Moroni, le 23 février 2020. © Ibrahim Youssouf/AFP

Lors du second tour des élections législatives, à Moroni, le 23 février 2020. © Ibrahim Youssouf/AFP

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Publié le 5 décembre 2023 Lecture : 6 minutes.

Le 14 janvier prochain se tiendra, aux Comores, le premier tour de l’élection présidentielle. Élu en 2016, puis réélu en 2019, un an après le référendum constitutionnel qu’il avait organisé et remporté haut la main, Azali Assoumani  tentera d’obtenir un dernier mandat de cinq ans. S’il y parvient, il devra, en 2029, passer la main à un Anjouanais afin de respecter le principe de présidence « tournante » entre les trois îles de l’archipel.

Assoumani, père et fils

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