Aux Comores, Azali Assoumani en quête d’un troisième mandat
Dans quelques semaines, le 14 janvier, le chef de l’État sortant se représentera à la présidence de l’archipel. Pour la première fois depuis son accession au pouvoir, en 2016, il a face à lui une opposition qui préfère s’unir plutôt que de s’abstenir.
Le 14 janvier prochain se tiendra, aux Comores, le premier tour de l’élection présidentielle. Élu en 2016, puis réélu en 2019, un an après le référendum constitutionnel qu’il avait organisé et remporté haut la main, Azali Assoumani tentera d’obtenir un dernier mandat de cinq ans. S’il y parvient, il devra, en 2029, passer la main à un Anjouanais afin de respecter le principe de présidence « tournante » entre les trois îles de l’archipel.
Assoumani, père et fils
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