Chahutée sur les marchés, Société générale se recentre en Afrique
La banque française peine à convaincre avec sa stratégie mondiale, jugée conservatrice. Sur le continent, elle renforce ses bastions et se déleste de ses filiales jugées non essentielles.
Cieux pluvieux à Londres et Paris ; belles éclaircies à Abidjan, Douala et Casablanca ; avis de tempête à Tunis et déluges à N’Djamena, Nouakchott, Malabo et Brazzaville. La météo financière est très capricieuse chez Société générale (SG)*.
Les nuages s’amoncèlent au-dessus de la Tamise quand, le 18 septembre, le directeur général de la vingtième banque mondiale, Slawomir Krupa, détaille son plan stratégique. Il y est question de « banque robuste » et de « promouvoir les activités performantes et durables ». Les investisseurs répondent par une chute de 12 % du cours de la Bourse le jour même et de plus de 20 % à la fin d’octobre, même si le cours est remonté depuis, approchant les 23 euros.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus
- Au Mali, le Premier ministre Choguel Maïga limogé après ses propos critiques contr...
- CAF : entre Patrice Motsepe et New World TV, un bras de fer à plusieurs millions d...
- Lutte antiterroriste en Côte d’Ivoire : avec qui Alassane Ouattara a-t-il passé de...
- Au Nigeria, la famille du tycoon Mohammed Indimi se déchire pour quelques centaine...
- Sexe, pouvoir et vidéos : de quoi l’affaire Baltasar est-elle le nom ?