En Algérie, Sonatrach poursuit sa mue à marche forcée
Après l’investiture de Rachid Hachichi et le départ des hommes forts de Taoufik Hakkar, le groupe public, géant africain du pétrole et du gaz, officialise l’arrivée de neuf nouveaux hauts responsables.
![Rachid Hachichi est à arrivé à la tête de Sonatrach en octobre. © DR.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover,gravity=0.4293x0.2977/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2023/11/15/jad20231115-eco-algerie-sonatrach-02.jpg)
Rachid Hachichi est à arrivé à la tête de Sonatrach en octobre. © DR.
En l’espace de quelques semaines, la compagnie pétrolière nationale Sonatrach (8 909 milliards de dinars, soit environ 65 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2022) a connu une valse de limogeages sans précédent.
Pas moins de neuf cadres ont été remplacés depuis l’investiture de Rachid Hachichi, en octobre dernier, à la tête du groupe hautement stratégique pour l’économie algérienne, très dépendante des recettes en devises liées aux exportations d’hydrocarbures.
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